Henri Rousseau
La muse inspirant le poète (1909)
(Marie Laurencin et Guillaume Apollinaire)
Huile sur toile - 146 x 97 cm
"Comme peintre de portraits, Rousseau est incomparable. [...] J'ai eu deux fois l'honneur d'être peint par Rousseau, dans son petit atelier de la rue Perrel, je l'ai vu souvent travailler et je sais quel souci il avait de tous les détails, quelle faculté il avait de garder la conception primitive et définitive de son tableau jusqu'à ce qu'il l'eût achevé et aussi qu'il n'abandonnait rien au hasard et rien sourtout de l'essentiel."
Guillaume Apollinaire, Méditations esthétiques. Les Peintres cubistes. Peintres nouveaux dans OEuvres en prose complètes II, Paris, Gallimard 1991, p. 37
"Como pintor de retratos, Rousseau es incomparable. [...] He tenido dos veces el honor de ser pintado por Rousseau en su pequeño taller de la calle Perrel; lo he visto trabajar a menudo y sé cuánto celo ponía en todos los detalles, cuán grande era su capacidad para mantener la concepción primitiva y definitiva de su obra hasta haberla terminado; no dejaba nada librado al azar, nada de lo esencial sobre todo."
2 commentaires:
Que bueno que volvieron las traducciones, estaba perdido, pensé que quizás te habías olvidado de aquellos que no hablamos la lengua de proust.
gracias!
¡y qué bueno que por fin haya mensajes como éste!
Gracias Nacho
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