Les sanglots longs
Des violons
De l'automne
Blessent mon coeur
D'une langueur
Monotone.
Tout suffocant
Et blême, quand
Sonne l'heure,
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure
Et je m'en vais
Au vent mauvais
Qui m'emporte
Deçà, delà,
Pareil à la
Feuille morte.
Des violons
De l'automne
Blessent mon coeur
D'une langueur
Monotone.
Tout suffocant
Et blême, quand
Sonne l'heure,
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure
Et je m'en vais
Au vent mauvais
Qui m'emporte
Deçà, delà,
Pareil à la
Feuille morte.
Paul Verlaine
[Los largos sollozos / de los violines / del otoño / hieren mi corazón /con su extensa monotonía.
Agitado / y pálido, cuando / llega la hora / recuerdo / los días pasados / y lloro.
Y me voy / con el viento malvado / que me lleva / de aquí para allá / Al igual que a la / hoja muerta. ]
4 commentaires:
hello jean-michel...
c'est étrange, je passe presque tous les jours mais je n'arrive pas à te laisser de messages....comme si c'était presque trop privé....
j'étais à carouge ce matin...j'ai pensé à toi en buvant un café sur une terasse, rue st joseph...
je t'embrasse
....Baisers
Merci Catherine. Tu es toujours la bienvenue. C'est privé, c'est vrai. Mais tu fais partie de cet univers "sensible"...
c'est une de tes peintures...? le mocassin ? dommage que l'on n'arrive juste pas à lire le texte dessous...
et le pacte autobiographique... c'est pour tes 'secrets et mensonges' ou c'est un autre projet ....?
......baisers
4ine
El otoño cunde parece... Et Verlaine...
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